À l’heure où l’on proclame partout la nécessité, l’urgence de la préservation de l’environnement, c’est le type de séjour qui vous permettra de tisser un lien étroit, fusionnel avec la nature. Il existe plusieurs sites forestiers en France, mais dans cet article, il s’agit de vous présenter la forêt domaniale de la Coubre en Charente-Maritime.
Une location saisonnière pour mieux profiter du domaine
Implantez votre camp de base dans un camping. Notamment, songez à réservez dans un camping de Royan. Vous serez alors à juste 500 mètres de la forêt ce qui facilitera vos déplacements et vous permettra de rester le plus longtemps dans le domaine. Cette forêt présente la particularité de se dérouler parallèlement à la côte et la plage. De par cet emplacement, l’invasion des sables dans la presqu’île d’Arvert est évitée, du moins, elle est contenue. De plus, la fixation des dunes est rendue possible grâce à la présence de la forêt.
Une forêt du 19e siècle
Cette forêt littorale de protection a été créée au 19e siècle. Aujourd’hui, elle occupe 5 000 hectares de surface. Vous avez beaucoup à voir sur une telle superficie ! D’ailleurs, il n’y a pas de forêt domaniale plus vaste dans toute la Charente-Maritime. La majorité des arbres (essences) qui s’y trouvent sont des pins maritimes ainsi que des chênes verts. Quant à la faune, elle est d’une incomparable diversité. Notamment, vous aurez l’occasion de contempler des cerfs, ou encore des chevreuils. Mais surtout, la forêt est un refuge pour les sangliers.
Exploration en vélo ou autres
Si vous êtes un passionné de cyclisme, n’hésitez pas à faire des randonnées en vélo dans la forêt. Une piste cyclable de 30 km a été aménagée au sein de la forêt. Il vous mènera de Saint-Palais-sur-mer à La Tremblade-Ronce-les-Bains. N’hésitez pas non plus à utiliser les pistes pédestres balisées (en ayant pris soin au préalable de vous informer). Il y a également un sentier de grande randonnée à parcourir. Et si vous pratiquez l’équitation, des pistes cavalières existent au cœur de cette forêt.
